À quelques kilomètres d'Oslo, l'hôpital psychiatrique de Gaustad dresse sa masse sombre parmi les pins enneigés. Appelée sur place pour un suicide, l'inspectrice Sarah Geringën pressent d'emblée que rien ne concorde.
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Le patient 488, ainsi surnommé suivant les chiffres cicatrisés qu'il porte sur le front, s'est figé dans la mort, un cri muet aux lèvres – un cri de peur primale. Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va découvrir une vérité vertigineuse sur l'une des questions qui hante chacun d'entre nous : la vie après la mort... " Nicolas Beuglet a branché sa plume sur du 20 000 volts : les chapitres se déroulent comme autant de scènes électrisantes au rythme infernal. " Marie Rogatien – Le Figaro Magazine " Un polar qu'on ne peut pas lâcher avant de l'avoir fini tellement c'est passionnant. " Marina Carrère d'Encausse – France 5 (éditeur)